« Avant de changer d'idée, s'assurer qu'on en a déjà une. » * * *

.INFORMATIONS. Nom, Prénom : Summers, Candice Melinda Age : 23 ans Lieu et date de naissance : New York, le 20 juin 1986. Groupe : Rather stay than risk our lifes Faiblesse -> Son problème principale à part survivre et son manque de sociabilité. Elle a tout du rat de bibliothèqye qui passe sont temps seule sans prendre le temps de discuter avec les autres. Réservée, elle n'aime pas se mettre en avant et parler pour ne rien dire. Elle plus spectatrice qu'actrice. Atout -> Son rôle de rat de bibliothèque est aussi un atout, puisque personne ne connait aussi que sa bibliothèque qu'elle-même. Elle sait où se trouve chaque chose. Quels endoits sont les plus adéquats pour leur "camping forcé" ou lesquels sont à éviter. De plus, elle a beau adorer les livres, elle préfère les brûler que mourir de froid. Ce n'est pas elle qui s'y opposera !

*VOTRE VIE

Voilà une situation perturbante !
Je n’avais jamais trop réfléchi à l’avenir, je préférais me concentré sur le moment présent plutôt que penser à un futur incertain. Je n’aimais pas non plus m’appesantir sur le passé. Ma vie avait toujours été parfaitement tranquille, tout s’était déroulé sans heurt, sans surprise. J’avais toujours été une enfant calme, rêveuse, timide…Personne n’avait jamais eu à se plaindre de moi. Pour certain, j’étais une agréable excentrique et pour d’autre j’étais une originale, une cinglée. Mon côté réservé ne m’avait pas attiré que de la sympathie. On me reprochait parfois d’être enfermée dans mon monde, dans ma petite bulle. Personnellement, je ne voyais pas ce qu’il y avait de mal à aimer les livres. C’était ma passion. Que pouvait-il y avoir de mal à ne pas être tout le temps en train de gesticuler en racontant n’importe quoi ou à faire la postiche ?

Toutes les choses futiles qui avaient intéressés les filles de mon âge m’avaient laissés indifférente. La mode pour commencer ; j’aimais bien être élégante, mais je n’en faisais pas une obsession. Je n’allais pas faire du shopping tous les jours comme si c’était un besoin vitale. Courir après le premier garçon venu ne m’avais jamais non plus passionné. Je préférais plutôt observer la traque dont les plus beaux « partis » faisaient preuve. C’était toujours amusant, je regardais cela comme on regarde un documentaire animalier. J’étais toujours plus surprise du ridicule qu’ils étaient capables d’atteindre. Il semblait n’y avoir aucune limite.

Toutes ces années en tant que spectatrice m’ont donné un certain talent pour comprendre ceux qui m’entourent. J’ai appris à voir plus loin que les apparences, à me fier à mon intuition plutôt qu’aux rumeurs. J’étais celle qui tendaient la main aux autres et qui offraient une seconde chance. Enfin, j’ai eu de la chance ; mes parents ont toujours étaient là pour moi. Ils me soutenaient dans n’importe quelle circonstance, m’inculquant tout ce qu’il fallait savoir. S’ils n’avaient pas été là peut-être que je n’aurais pas été aussi raisonnable. De plus, je ne dois ma passion des livres qu’à ma mère. C’est elle qui me les a fait découvrir ; c’était notre monde à nous.

U.C