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| Sujet: Carlotta Eléanor O'connor- Sam 30 Mai - 23:15 | |
| -Je n’ai jamais réfléchit a la manière dont j’allai mourir, disons que j’avais toujours vu une mort plutôt paisible, dans mon sommeil chez moi a plus de quatre vingt dix ans. Le monde a tellement changé, il est passé du mal à l’horreur. Il n’était pas terrible avant, avec son passée et voilà qu’aujourd’hui il nous déclare la guerre. La terre n’est plus notre mère, c’est ce que je vois, et malheureusement sa ne changera plus. Mais, moi Carlotta Eleanor O’connor, je décide en ce jour même, assise sur un lit d’hôtel que la vie en vaut la peine de se battre, d’être vécue. Je décide que je passe à l’action et que rien d’autre ne m’en empêchera. J’ai des mains, des pieds, je suis doté d’un cerveau et d’un caractère pour subir ce que nous avons faits. Il est temps de changé. Je me levai, cette catastrophe me faisait peur, certes mais j’étais courageuse, et ce n’était pas sa qui allait m’empêchée de réagir, parlais-je a moi-même ou c’était une réelle discours que je prononçais a haute voix, décrétant ainsi que j’allai bouger. Et pourtant l’idée d’aller a Los Angeles, a pieds dans un froid arctique, me glaçais le sang. Los Angeles, était la ville a l’opposée du continents, plus de cinq milles bornes à faire. Et même si j’étais forte et résistante, je sais que c’est impossible. Mais mourir, ici, dans un hôtel, morte de froid ou de faim me paraissait être une mort minable, et affreuse. Valait mieux tenter quelque chose. Bouger, nous évader de cet enfer. Mais des questions ce posé, qu’allons nous faire a Los Angeles ? Et est ce que là bas, ce n’est pas la même chose ? Dans l’hôtel, on était dotée d’une radio, et il m’arrivait parfois de l’allumer, voir si un continents avait était épargné. – Mesdames, Messieurs, fuyait tant qu’il en a encore temps, partait rejoindre votre famille. Le monde va mal, et nous avec. Nous tombons dans l’enfer, la vie est finit, c’est le commencement de la fin. A l’heure où je vous parle, La terre, notre mère, nous abandonne. Nous mourons chaque jour, et ce n’est que le début. Mes frères, sœurs, enfants et parents. Nous nous retrouverons tous en hauts, dans le bonheur infini. A chaque fois que j’entendais sa, un vent glacial me prenait, il m’était impossible de comprendre pourquoi tous cela arrivait. J’étais désespérément seule, et mon corps s’épuisait petit à petit, la nourriture devenait insuffisante, je me contentais pour évitais de tout perdre, de barre chocolaté. Un enfant aurait joyeux, moi j’avais faim et je maigrissais rapidement. Perdant presque chaque jour un kilo. Moi qui avant me plaignait de mes formes, je l’ai pleuré de jour en jour, je suppliais Dieu de me l’ai redonnée. Avant le déluge, j’avais une vie. Spéciale certes, mais merveilleuse. J’étais une française avec des origines Italienne et Américaine. Ma mère était une véritable femme de haute société, j’avais vécu dans un monde de courtisan, il fallait flatter le plus riche d’entre nous pour obtenir ses faveurs. Je haïssais ce monde plus que tout, l’argent n’a jamais fait mon bonheur, il m’offrait juste l’illusion de m’amuser. Je me construisais mon monde a moi, m’imaginez que le bonheur était là a tout le monde, et que le malheur n’existait pas. Malheureusement la réalité fut assez dure à voir. Ma mère décéda, me laissant seule dans un immense manoir prés de Versailles. Mes parents divorcés depuis l’âge de mes 4 ans, mon père s’en est allé à New York, sa ville natale. Il ne m’avait jamais envoyée de lettres, aucun mail. Rien, le désert absolu. A mes dix huit, je découvris une vieille malle nous appartenant, l’ouvrant je vis un petit coffret. Celui-ci contenait toutes les lettres que mon père m’avait envoyées, des cadeaux étaient aussi présents. J’en voulais a ma mère d’avoir fait une monstruosité pareil, mais je l’a comprenais, dés l’instant où je vis sa, je m’en allai a New York, il m’était impossible de ne pas donner d’explication, et le faire dans une lettre serait lâche. Je vendis la propriété, et je m’envolai pour NY. C’est ensuite que le déluge apparu, quand j’étais installée, 6 mois après. J’étais dans les rues de la Big Apple quand la tempête se déferla. Je pris la première porte pour me réfugiée. En entrant, je vis que j’étais dans un hôtel, et la première chose que je fis c’est montée tout en haut, dans les étages, suivis de plusieurs personnes. Sa fait maintenant plus de trois jours que nous sommes ici, et je n’arrive plus a supporter le fait d’être enfermée vingt quatre heures sur vingt quartes. Difficile de jouer, dans les couloirs, ou de me divertir avec un ordinateur ou une télé, toutes en pannes. Je devrai surement restée là pendant plusieurs semaines. Je verrai, comment font les autres. Je l’ai suivrais surement. J’ai dix neuf ans dans quatre jours, et je me vois mal faire mon anniversaire ici, seule. J’en pleure parfois, et même si je suis forte, j’ai du mal à me contenir, la pression y ait trop forte. Un jour, la terre ira mieux, et nous de même.J’aurai pu, avant arriver à me contenir, quand mes amis et parents était autour de moi. Simplement, aujourd’hui ce n’est plus le cas, et autour de moi de parfait étrangers, je ne connais même pas leurs noms. La vie, me devient injuste, et pourtant j’ai l’impression que maintenant, cette vie me fait devenir plus forte, bien plus dur, qu’avant. Je tiens à ma survie, à celle de l’espèce humaine, je veux voir comment nous évoluons avec le temps. J’ai toujours été curieuse du monde, j’étais maligne, intelligente. Bien que tous sa ne soit pas partit, j’ai l’impression d’avoir perdue mon sourire, celui que j’affichais tous les jours. Un simple étirement de ma joue ne s’était plus produit, et j’ai assez de mal à le faire. Je pourrai tenter, mais je n’en n’ai pas du tout envie, et la force n’y est pas. Il se fera tous seule, se long et grand sourire joyeux que j’ai, j’avais. Mes yeux bleus azur ont perdu de leur éclat, de leur beauté. Mon visage c’est assombri, je deviens de marbre. Mes habits sont sales, et je n’arrive plus à supporter la simple chemise que j’ai. J’ai froid, faim. Impossible d’être bien dans cet univers. Mais je sais qu’un jour, la terre ira mieux et Moi de même. Alors je continus de me parler a moi-même, sa me tient compagnie. Chanter. Heureusement, un Piano est a disposition dans le salon, et je m’y promène, laissant mes doigts glissai dessus, chantant sur des airs connu. Sa me donne du courage, sa m’aide à tenir dans ce monde de dingue.J’errai dans les couloirs de cette immense hôtel, mettre parlait de ce piano me donnait l’envie de musique, et ce que je fis, je m’assis sur le tabouret et posa mes doigts sur les touches, et chanta, doucement puis prenant plaisir plus fort. Je n’avais pas peur qu’on me surprenne, se ne me déplaisait pas, sa me gênée juste. Seule ma voix était intacte, elle sonnait vraie et cette voix angélique en charmait plus d’un. Beaucoup de regards était fixé sur moi, sa me gênée. Mais une vieille femme s’approcha puis dit : Continuez, sa nous apporte de la joie dans ce moment terrible. Ainsi que des oui, et des allez y. M’apprêtant à faire ce que l’on me demandée, je me tournis vers le clavier, puis dis : Pour vous, Pour nous.
I gave up coffee and cigarettes I hate to say it hasn't helped me yet I thought my problems would just dissipate And all my pain would be in yesterday I poured my booze all down the kitchen drain And watched my bad habits get flushed away I thought that that would keep my head on straight And all my pain would be in yesterday But it's true I'm still blue But I finally know what to do I must quit, I must quit, you I thought that if I didn't go and play The sadness would get bored and go away I thought that if I didn't go astray That all my pain would be in yesterday But it's true I'm still blue But I finally know what to do I must quit, I must quit, you I sold my guitar and my piano I thought that it was these that kept me low [..]
Dernière édition par Carlotta E. O'connor le Dim 31 Mai - 0:34, édité 4 fois |
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Live or die ATOUT(S): PNG FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Carlotta Eléanor O'connor- Dim 31 Mai - 14:03 | |
| Alors, y'a pas mal de fautes, tu as tendance à confondre les -ez et les -ait surtout N'hésites pas à copier ton texte et à le coller sur Word ou sur bonpatron.com pour qu'il en corrige la plupart Mais bon, j'suis bien lunée aujourd'hui alors je valide ^^ A part les fautes tout est correct Bon rp' |
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