| | Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 2:25 | |
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« C'est l'instinct qui, pressentant la menace d'une perte si immense et si irrévocable, fait que l'esprit se rebelle quand il en prend la mesure. » * * * |
.INFORMATIONS.
Nom, Prénom : Collingwood, Delilah, Maija. Age : 20 ans. Lieu et date de naissance : Née à New York, le 23 Juillet 1989. Groupe : Human Beings Solitary Persons
- Faiblesse -> Maija est une fille trop mystérieuse, et trop réservée, ce qui ne facilite pas sa survie lorsqu'elle a besoin d'une aide quelconque. Elle se sent facilement dépassée par les évênements, tout en devenant déprimée de manière croissante. Elle est également trop susceptible, ce qui peut s'avérer dérangeant.
- Atout -> La jeune femme est sincère, et bien que passablement timide, elle ne lésine pas sur la franchise. Dôtée d'un calme sans égal, elle est posée et réfléchie même dans les situations les plus insolites, bien que souvent submergée par ses émotions, en bonne sentimentale qu'elle est. De par ce qu'elle a véccu, Maija ressent un blocage envers les hommes, ce qui peut être un atout comme une faiblesse, puisque ceci lui évite des moments qui peuvent s'avérer gênants dans sa vie de tout les jours.
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Dernière édition par Maija D. Collingwood le Lun 6 Juil - 3:00, édité 10 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 2:25 | |
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*VOTRE VIE
« C’est une idée véritablement absurde, ma chérie, cet homme n’est peut-être pas aussi innocent que tu le crois. » S’enquit madame Collingwood, tout en rapiéçant une vieille robe aux couleurs ternes, légèrement jaunie par le temps. C’était une dame dont le nom était connu dans tout le camp de nomades, parce qu’elle était d’une hospitalité sans bornes, et qu’elle racontait des histoires fabuleuses à qui voulait bien tendre les oreilles. Elle connaissait les légendes urbaines mieux que personne, et pourtant, elle n’était pas si âgée que ça, mais la vie avait fait en sorte qu’elle devient sage, et constamment sur le qui-vive. Elle fabriquait des gris-gris, pour conjurer le mauvais sort et du même coup, l’empêcher de s’abattre sur sa petite famille. Cette dernière était composée d’elle-même, de son mari, et de ses deux enfants. Monsieur Collingwood n’était pas un homme très fidèle, ni même très honnête, et il passait ses journées dans les caravanes d’autres femmes, songeant sans doute que la sienne était d’une stupidité telle qu’elle ne se rendait compte d’absolument rien. Il buvait, aussi, mais il lui en fallait des litres pour être ivre, c’est pourquoi il ne rentrait jamais violent ou en déséquilibre sur ses jambes, simplement il appréciait un bon verre de scotch de temps à autre. Leur fils se nommait Deck, et était un garçon très ambitieux, bien qu’ayant de faibles moyens. Il était notamment très doué à l’école, et rêvait d’aventures plus que quiconque. Il ne voulait pas vivre une vie sans aucun but, dénuée de signification, et souhaitait être quelqu’un. C’est ainsi qu’il avait quitté le campement, sans un regret, pas même un regard en arrière, envers sa jeune sœur, entre autre. Maija, cette fille douce et tranquille qui n’enviait personne et se perdait souvent –bien trop souvent- dans ses pensées. Sentimentale, elle ne vivait que pour les belles choses et la bonne musique. Passionnée de guitare, elle en joue particulièrement bien et accorde sa voix à celle-ci lors des soirées nocturnes en famille autour du feu. Cependant, elle ne sera jamais prétentieuse au point de se dire douer, ou même de se trouver douée, tout simplement. Elle est aussi une fille très mystérieuse, et ne parle pas beaucoup, ce qui fait d’elle une personne que l’on cerne difficilement. C’est avec cette dernière que s’entretenait madame Collingwood, au sujet d’une idée jugée irréfléchie et farfelues qu’avait eu sa toute jeune fille. Récemment victime d’une petite agression, Maija se faisait dire qu’elle était en état de choc, et qu’elle n’avait sans aucun doute plus toute sa tête. Mais campée à ses décisions, et ferme comme un poteau de fer, la jeune femme n’en démordait pas.
« Je t’ai déjà dit qu’il m’avait sauvée. Il ne voulait rien me faire de mal, d’ailleurs, il n’a jamais eu de mauvaises intentions, je l’ai vu dans ses yeux, maman. »
Elle-même occupée à arracher quelques mauvaises herbes aux alentours de la caravane, elle s’excluait peu à peu de la conversation, choisissant des cheminements qui l’emmenaient loin de sa génitrice. Seule avec elle-même, elle se révélait encline à la déprime, sans pouvoir rien faire contre. Ce n’était pas tant cet événement, à la banque, qui l’avait rendue si mélancolique, c’était dans sa nature, comme entre autre une franchise considérable, et une façon d’être beaucoup, beaucoup trop rapidement dépassée par les événements. Ce jour là, elle s’était trouvée dans cet endroit parce qu’elle devait retirer de l’argent pour sa mère, et avait assisté au braquage de ces hommes inconnus qui ne lui disaient rien qui vaille. Impuissante parmi les otages. Jusqu’à ce qu’elle retrouve ce courage si bien enfouis sous ses nombreuses faiblesses. Elle s’était démenée pour parvenir à l’alarme qui, brisée, alerterait la police. Elle avait couru si vite qu’il lui avait semblé voler. Malheureusement, sous les cris de panique des personnes gardées à l’intérieur de la banque, l’un des hommes l’avait interceptée, aussi facilement que si elle avait était faite d’une matière légère, comme de la mousse. Effrayée, et incapable d’aucun mouvement, elle avait souffert en silence des mains baladeuses de ce dernier, sous ses vêtements, dans son cou... Jusqu’à ce que l’homme qui, à présent, peuplait toutes ses pensées n’intervienne. Elle se souvenait de ses larmes, qu’elle n’arrivait jamais à contenir très longtemps, et de ses idées selon lesquelles personne ne l’aiderait, et qu’elle finirait violée, puis déposée au sol, à même le carrelage, à la manière d’un colis dont on ne voulait pas. Elle se souvenait aussi de ce sentiment de victoire, au moment ou elle avait compris qu’elle s’était effectivement trompée, et que cet homme, cet homme si impressionnant, bien que participant au braquage, avait jeté une chaise en plein dans le visage de son agresseur. Libérée, elle n’avait pas même attendu une seconde pour reprendre contenance, et s’était ruée sur l’alarme, qu’elle avait brisée d’un vif coup de poing. Les joues couvertes de l’arme, elle avait bafouillé des excuses, et avait attendu en écoutant les sirènes qui déjà approchaient. Ces souvenirs étaient douloureux, et pourtant, une pointe d’envie de retrouvaille la tiraillait. Sa déposition n’avait servi à rien, Gaëben, ainsi qu’il se nommait, s’était retrouvé en prison. Le dos large d’accusations, en tout genre. Aujourd’hui encore elle n’avait aucune sorte d’idée du pourquoi du comment il s’était retrouvé là dedans, mais elle avait l’intuition très exacte qu’il n’avait agi que par dépit. Il avait besoin de quelque chose, c’était certain, mais quoi ? Pour avoir la réponse à cette question, il fallait inévitablement qu’elle le revoit, et c’est ainsi qu’elle avait prit la décision de retourner le voir à la prison. Et sa mère ne l’entendait pas de cette oreille. Inquiète pour sa progéniture, elle refusait catégoriquement que Maija revoie cet homme, même à travers les barreaux d’une cellule. Mais la jeune femme, pourtant pas tête de mule, se voyait mal rester dans l’ignorance après ce qu’elle avait vécu, bloquée qu’elle était à présent envers les mâles de l’espèce humaine. Quelque chose au fond de son cœur, qu’elle apparentait presque à une pointe d’amour, lui disait qu’il fallait au moins, seulement, qu’elle le remercie. Elle avait eu les honneurs du sauvetage des otages, mais en vérité, toutes ces ovations lui revenaient de droit. Elle devait en avoir le cœur net, qu’était il devenu ? Se souviendrait-il d’elle ? Pensait il seulement encore à cette courageuse jeune fille qui avait eu le courage de faire ce que tout les autres s’entêtaient à s’imaginer faire ? Elle en doutait, mais encore fallait il qu’elle soit certaine. Elle irait, le lendemain matin...
« Il faut que j’aille en ville, tu comprends, je n’en peux plus d’arracher les herbes avec mes mains, mes doigts sont en compote, je ne ressens plus rien. »
« Travailler, ça forge le caractère, mais tu as toujours été de ceux qui choisissaient la facilité. »
Piquée au vif, elle n’avait rien répliqué à son père, mais n’en pensait pas moins. Parfois, elle avait envie qu’il finisse puni pour ses paroles blessantes dont il avait le secret. Touchée, elle était partie en ville, choisissant définitivement le chemin de la prison. L’air lui semblait déjà frais à ce moment là, mais elle n’y avait pas spécialement fait attention, inquiétée qu’elle était dans l’instant par le sort de son sauveteur. Plus que jamais, maintenant qu’elle était proche de lui en quelque sorte, elle ressentait l’envie intense de le revoir, peut-être même de le toucher, qui savait. Il n’avait rien fait, absolument rien, et elle saurait la vérité. Soudain, alors que ses pas étaient silencieux jusqu’alors, des bruits d’eau leur succédaient, tandis qu’elle se rendait compte que la rue se remplissait peu à peu. Elle s’arrêta une minute, la mine soucieuse, tout en écoutant un grondement lointain. Plissant les yeux, elle courba l’échine puis... plus rien. Elle ne pu jamais rien répliquer à son père, foncièrement mauvais, puisqu’il avait été arraché de son rocking chair pour être empalé à une branche sans que jamais elle ne l’apprenne. Et elle ne pu jamais dire non plus à sa mère que peut-être, elle avait eu raison, qu’elle n’aurait pas du quitter la maison ce jour là, et elle ne sut pas que celle-ci c’était réfugiée avec d’autres personnes du camp dans l’un des nombreux bâtiments de New York, à l’abris des eaux transformée en glace par les températures trop basses. Un raz de marée avait ravagé la ville, et, recluse comme une hippie, elle n’avait nullement eu accès aux informations d’une télévision qui de toute façon, ne proférait jamais assez de messages d’alertes. A la limite de l’inconscience, sa dernière pensée fut pour Gaëben. Se reverraient ils avant qu’elle ne sombre ?
Dernière édition par Maija D. Collingwood le Mer 8 Juil - 0:20, édité 4 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 2:25 | |
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& &YOU.
Célébrité Choisie : Willa Holland Pseudo : WOW Age : 17 ans, très, très bientôt. Fréquence de connexion : {4/7} J'essaye d'être la plus régulière possible, mais je suis en quelque sorte une "tête en l'air" et j'oublie de me connecter, j'essayerais cependant de faire un effort, et je tiens tout de même à dire que je serais absente durant les deux mois de vacances, et que de ce fait, je ne suis pas une déserteuse! =D Comment avez-vous connu le forum : Par Gaëben (L) Comment trouvez-vous E N D E D W O R L D. : C'est un très beau forum, avec un contexte qui donne vraiment envie. Quelque chose à ajouter ? : Je suis bavarde. Code situé dans le règlement : code validé par Shanese
Dernière édition par Maija D. Collingwood le Lun 6 Juil - 2:42, édité 1 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 2:35 | |
| Je t'aime Bienvenue sur EW, et un énorme bonne chance pour la suite de la fiche. Tu vas être géniale dans le rôle de Maija
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 2:36 | |
| Je te remercie, j'espère également être à la hauteur. T'es le plus beau, je t'aime. |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 9:38 | |
| Bienvenue et bonne chance ma'moiselle =) |
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Shanese Weston The end of favours arrived, I am alone
MESSAGES : 577
Live or die ATOUT(S): ..... FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 9:54 | |
| Bienvenue mlle !
Et bonne continuation pour ta fiche! |
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Jade S. O'Connell ▌I'm the last, the only rather stupid to survive ...
MESSAGES : 2529
Live or die ATOUT(S): Médecin FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 12:07 | |
| Welcomeuuuuh' =) ! Amuse toi bien, et, je veux un lien ! |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 13:46 | |
| merci tout le monde et Jade, ce sera avec joie! |
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Kris Ralleigh
MESSAGES : 149
Live or die ATOUT(S): ..... FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 14:02 | |
| Hey ! Bienvenue dans le coin. |
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Ronnie D. Worcester
MESSAGES : 435
Live or die ATOUT(S): FAIBLESSE(S): RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 14:07 | |
| Bienvenue dans ce palais des glaces ! Bonne chance pour la suite et bonne continuation pour ta fiche (: |
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Madyson A. Hopkins
MESSAGES : 1124
Live or die ATOUT(S): FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 6 Juil - 14:39 | |
| Bienvenue à toi !
Je veux un lien aussi héhé |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mar 7 Juil - 1:54 | |
| Bienvenue à toi (: Bon courage pour ta fiche et bon jeu sur EW |
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Tyler Gage
MESSAGES : 49
Live or die ATOUT(S): ..... FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mar 7 Juil - 2:35 | |
| Nous sommes envahies de belles demoiselles...
Bienvenu à toi. |
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Adrian H. Windsor
MESSAGES : 737
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mar 7 Juil - 3:16 | |
| Bienvenue Je suis pas fan de Willa mais ton personnage m'a déjà l'air très bien |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mar 7 Juil - 15:01 | |
| Merci beaucoup tout le monde J'écris ma fiche ce soir, normalement, parce qu'ensuite je pars en vacances pendant deux mois, et j'ai pas très envie qu'on me suplante pour le personnage |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mer 8 Juil - 0:21 | |
| Excusez moi du double poste, mais je pense avoir terminé |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mer 8 Juil - 1:23 | |
| J'adore ton histoire, elle est magnifiquement bien écrite La formulation de la mort du père m'a beaucoup fait rire xD. |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mer 8 Juil - 1:25 | |
| hen, c'était pas censé être drôle espèce de nouille xD |
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Gabriel L. Irving
MESSAGES : 1075
Live or die ATOUT(S): ..... FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 13 Juil - 20:34 | |
| xDDDDDDDDDD J'aime bien ton style : Bienvenue |
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Sebastian J. Hayden
Sometimes I wish I could Save You°
MESSAGES : 201
Live or die ATOUT(S): Force physique et solidarité FAIBLESSE(S): Trop protecteur et irréfléchi RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Lun 13 Juil - 22:05 | |
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Hell Of A Day ▌Such a Funkadelic way to die•
MESSAGES : 523
Live or die ATOUT(S): PNG FAIBLESSE(S): Un défaut psychique ou une faiblesse physique qui risque de vous nuire lors de votre survie RELATIONSHIPS:
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. Mar 14 Juil - 19:15 | |
| Perfect miss Je valide ^^ Bon jeu parmi les congelés du bulbe |
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Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur, tu connais pas. | |
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