.VOTRE HISTOIRE.

L’histoire de Jaycob, bien qu’elle ait déjà été joyeuse pendant certaines périodes, pourrait paraître comme compliquée, ce qui serait complètement vrai. Né à Frost, une campagne du Texas, il a grandit dans une famille de ce qui avait de plus normale et a passé la plus grande partie de sa petite enfance à courir dans les vastes étendues qui lui servait de cours ou bien de se baigner dans les lacs environnants. Heureux vous dites? Hey bien oui, pour l’instant. Sa famille demeurait plutôt unie, bien qu’il n’y ait que peu de chances de réaliser un de ces rêves de sortir de son “trou”, ce trou où il était si bien ancré. Il était le plus jeune d’une famille de trois enfants, trois garçons pour lesquels les parents avaient de grandes ambitions pour la médecine, une profession que les deux considéraient comme une réussite de leur vie. Jaycob aurait pu les satisfaire, bien sûr...mais pour lui qui n’avait jamais été le premier de classe, cela aurait été presque impossible. Sans parler du fait que les sciences et lui faisaient deux.

Bref, après une enfance idéale à courir dans les champs et peuplée d’amis avec qui il était la plupart du temps ainsi qu’une adolescence où il avait su se montrer responsable, occupant un petit emploi afin d’aider ses parents qui n’étaient pas les plus fortunés du monde, Jaycob entama des études en...journalisme. En fait, cette décision s’était presque fait toute seule; les livres avaient été de grands copains du petit Jaycob durant une bonne partie de sa vie et il était d’une nature extrêmement curieuse et enjouée....enfin avant que le drame qui fit prendre un tout autre chemin à sa vie ne débarque. C’est donc avec grand enthousiasme que le téméraire et impulsif Jaycob entreprit de brillantes études en Journalisme qu’il compléta avec brio et entra dans le monde du travail. Ne lui manquait plus qu’une seule chose maintenant et tout pourrait être parfait; une femme dans sa vie. Enfin selon les autres. Ne croyant pas trop à l’amour, Jaycob s’était souvent moqué de ses amis les plus proches, qui s’était un à un casé bien qu’ils aient souvent participé à ses railleries sur le sujet. D’ailleurs, la plupart du temps, il se contentait d’afficher un air de je m’en foutiste envers ce sujet, faisant comme si cela ne lui importait peu, que cela ne lui arriverait jamais de toute façon puisqu’il n’était pas du genre de se laisser aller à telles faiblesses. Bref pour lui, les amours d’un soir étaient tout simplement parfaits.

Et pourtant.....c’est dire combien celui qui a affirmé que l’amour frappe au moment où on se l’y attend le moins demeure réel.

Ce jour-là, il avait obtenu un contrat afin de travailler avec une nouvelle collègue, fraîchement arrivée du Canada. Cette même collègue, journaliste elle aussi, il en avait entendu parler de toutes les manières possibles de la part de ses anciens camarades et pas toujours en positif. Certaines rumeurs un peu grossières affirmaient même que cette Aliyaah avait eu ce poste seulement après avoir donné quelques....faveurs à leur patron (autrement dit ils disaient qu’elle avait du coucher avec lui pour cela). Bref, tout pour que Jaycob ne sache pas trop à quoi d’attendre. En fait, il découvrit bien vite la vérité....plus que ce qu’il en aurait voulu. Il s’avéra rapidement que le jeune homme et cette nouvelle avaient de grands atomes crochus...et pas seulement de façon positive! Ils prenaient déjà un malin plaisir à se taquiner après seulement quelques jours de travail, des taquineries qui tournaient très souvent aux moqueries auxquels les deux ne se gênaient pas pour répondre. Bien entendu, ils ne se détestaient pas du tout, mais se contentait le plus souvent de se tourner autour, jouant un petit jeu dont eux seuls avaient les règles. L’alchimie était pourtant présente, bien que les deux jouent les indifférents la plupart du temps....jusqu’à ce que Jaycob se le fasse remarquer par deux de ses collègues, qui lui demandèrent s’ils avaient commencé à sortir ensemble. D’accord agréablement surpris, cela eut par contre l’effet bénéfique de faire réfléchir Jaycob pendant tout le reste de la journée, ce qui le rendit par le fait même distrait par moment et lui attira quelques moqueries de la part de la belle Aliyaah. C’est durant ce court laps de temps, alors qu’Il fixait pensivement ses magnifiques yeux, les plus beaux qu’Il ait d’ailleurs jamais vu et les seuls dont il était tout simplement incapable de se détacher, qu’il prit une décision qui allait changer sa vie; ce soir, il allait repartir chez lui avec en poche un rendez-vous avec cette femme. C’est après plusieurs hésitations qu’il eut le courage de mettre son orgueil de côté et de lui faire cette demande, histoire de se tester lui-même. C’est alors que malgré toutes ses réticences envers l’amour, qui était une faiblesse selon lui, malgré tout ces principes mêmes, il arriva ce qui devait arriver. Tout cliqua entre eux et il eut beau se débattre, se faire croire qu’il se faisait des idées et qu’il n’était certainement pas en amour, il dut s’avouer après plusieurs rendez-vous qu’il avait tort d’avoir ces pensées. Avant même qu’il ne puisse élever ses barricades encore plus haut pour mieux se protéger, il se rendit compte qu’il ne pouvait plus se passer d’elle. Chaque jour passé loin d’elle, sans rendez-vous ou quand il était en congé, il passait une grande partie de la journée à penser au moment où il la reverrait....bizarre non comment le sort avait fait les choses? Et nous pourrions terminer cette courte histoire en disant que son lit qui ne dévidait généralement pas cessa soudainement d’accueillir plusieurs partenaires différentes, partenaires qui furent vite oubliées....fou l’effet que l’amour a sur les gens non?

Quand il fut plus que clair que ces deux-là étaient heureux ensemble, ils décidèrent de faire un pas de plus; habiter ensemble. Vu leur deux forts caractères, leurs débuts en tant que couple officiel, quelque temps après leur rencontre, furent plutôt difficile. En fait, il leur fallu un moment avant qu’Ils n’apprennent comment se comporter l’un envers l’autre et en furent bientôt à comprendre l’autre d’un seul regard. La complicité était maintenant à son comble et Jaycob se prit à espérer que ce moment dure pour toujours. Malgré les hauts et les bas pourtant, ils en sortaient toujours plus fort, chacun comptant sur l’autre peu importe ce qui se passait.

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Jaycob était définitivement nerveux, comme si un curieux pressentiment n’avait lieu de hanter son esprit. La télé était allumée, lumière inutile dans la pièce pourtant éclairée convenablement. C’est alors qu’il entendit des pas s’avancer jusqu’à lui, des pas qui lui était familiers. Haussant les sourcils, inquiet, Jaycob se retourna vers la femme qu’il aimait, se demandant ce qui pouvait bien se passer. La vision qu’il eut devant les yeux n’eut pour effet que d’augmenter le soucis que quiconque pouvait lire dans son visage. Et avec raison. Aliyaah se tenait devant lui, le ton pâle, des cernes apparaît sous ses yeux, ses cheveux bruns-roux brillant comme un soleil sous la lumière matinale. Elle qui n’était que rarement malade....

-Est-ce que sa va?

Il savait qu’elle serait capable de lire l’inquiè imprégnée dans son visage. Se levant d’un pas rapide, il se mit face à elle, l’entourant affectueusement de ses bras musclés comme pour la rassurer bien que lui soit loin d’être moins inquiet. C’était un de ces rares moments comme cette femme était la seule avec qui il pouvait librement exprimer ce qu’il ressentait, même s’il n’avait pas besoin de parler beaucoup pour qu’elle comprenne. En sentant sa peau trembler sous ses bras, Jaycob lâcha un soupir et déposa sa tête sur ses cheveux, toujours dans le même sens.

-Hey...hey...qu’est-ce qui se passe?

Son attitude l’inquiétait de plus en plus à vrai dire et il savait qu’il réussissait à le cacher plus ou moins bien. Puis, elle fit un geste qui le surprise tout en lui mettant la puce à l’oreille. Se retirant de l’étau de ses bras d’ordinaire si confortable, elle se recula de quelques pas et Jaycob ne put qu’être désorienté par le changement brusque sur son visage. Bien qu’encore hésitante, Jaycob pouvait déceler la nouvelle lueur dans son visage, dont les yeux étaient maintenant pétillants comme des étoiles dans un ciel couleur encre. C’est avec une voix emplie d’émotions, presque les larmes aux yeux, qu’elle lui annonça;

-Je....je suis enceinte.

Jaycob eut alors l’impression que son coeur avait arrêté de battre a ce moment précis. Il s’était fait une tonne de scénarios pendant les dernières minutes....et c’était ça? Il serait papa? LUI?

-Quoi? Tu...mais comment...? Tu penses qu’il est de moi?

Il vit clairement Aliyaah lever les yeux en l’air avant de lancer d’un ton moqueur, des larmes de joie coulant cette fois sur sa joue et décida sur le coup de se payer un peu sa tête.

-Mais comment ça comment? Jaycob Adriaan Ford, tu ignores quand même pas comment on fait des bébés ou tu veux que tu t’explique tout? Et puis sinon...va falloir que tu m’expliques comment tu peux OSER penser qu’Il est de quelqu’un d’autre que toi.

Cette fois, Jaycob se figea sur place, mais se força néanmoins èa esquisser un sourire légèrement moqueur, pleinement conscience de la manière dont elle se moquait gentiment de lui, comme très souvent. Son corps ne semblait plus obéir aux gestes qu’il lui commandait et son cerveau ne voulait plus fonctionner normalement, comme s’Il s’était aussi arrêté. Bon sang. Il n’arrivait pas èa croire....lui qui s’était si copieusement moqué de l’amour il y a de cela quelques années se retrouvait papa....Il recula de quelques pas, soudain peu certain de l’engagement qui s’offrait pourtant devant lui, lui donnant l’opportunité de vivre la vie dont il avait toujours rêvé.

-Ally....je peux pas faire ça. Comment je pourrais être papa? C’est impossible....

Et voila, la faiblesse qu’il avait toujours tenté de cacher se montrait maintenant au grand jour. Et tout ça èa cause de cette peur qui lui tordait le ventre. Il ne pouvait plus faire semblant, pas pour quelque chose d’aussi gros. Si, il y a quelques minutes, c’était lui qui avait joué celui qui rassure, cette fois Ally posa des bras réconfortants sur les siens, comme pour le retenir avant de prendre un ton un peu plus ferme.

-Jay....tu peux pas m’abandonner maintenant. Pas toute seule....Je sais que t’es pas comme ça. Je vais pas le garder si j’ai pas ton soutien, parce que je veux que tu sois la aussi, j’ai confiance en toi pour ça.

Jaycob soupira devant ce choix qui changerait sa vie a jamais.

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Que pensez-vous qu’il a choisi de faire ce cher Jacob? Bien entendu, il ne put résister èa toutes ces supplications et il resta donc. Son fils fut pourtant la plus belle chose qu’il lui fut jamais arrivé...ou plutôt la deuxième. Le tout était tel qu’il ne pouvait plus imaginer ce èa quoi aurait imaginé sa vie s’il était partie comme un voleur quand Aliyaah lui avait fait l’annonce....Les années passèrent et la famille vécut des moments de bonheur pur. Jaycob s’avéra être magnifique en papa, arrachant un sourire tendre èa la maman le plus souvent. Mais tout est trop beau pour être vrai et ça, Jaycob n’allait pas tarder èa l’apprendre.

La tête lui tournait. Affreusement. Comme s’il venait d’avoir un choc terrible.

Bon sang.
Que lui arrivait-il donc? Où était-il? Il essaya pendant un instant de prendre attention à ce qui pourrait se passer au dehors, mais la douleur lancinante qui lui transperçait le corps comme un couteau et ses oreilles qui bourdonnaient l’empêchait d’en savoir plus. Comme si ces dernières étaient en mode off... Jaycob lâcha un grognement alors que l’inquiétude montait en lui tel un poison se glissant sournoisement dans ses veines, contaminant son corps en entier. Bien sûr, il tentait bien de la calmer, de la faire taire pour pouvoir ainsi réfléchir comme il se devait, mais quelque chose lui disait que cette fois, c’était impossible.

Cette fois, il ne pourrait faire semblant.
Déterminé à enfin comprendre ce qui se tramait au dehors, Jaycob tenta un geste. Ou même plusieurs. Le blond essaya de soulever ses paupières beaucoup trop lourdes, semblant peser des kilogrammes, comme si elle était demeurée collée contre sa peau, comme pour l’empêcher de voir quelque chose qu’il n’oublierait probablement jamais du reste de sa vie. Un dame marquant. Chaque petite geste qu’il faisait, aussi minime et normaux qu’ils pouvaient être dans la vie quotidienne, semblait lui coûter un effort ultime, presque surhumain. Son corps était vidé de tout, faible et dépendant. Serrant les dents, Jaycob tenta un autre geste, un léger mouvement de la main qui, en temps normal, était bénigne, mais fut arrêté par un élancement dans sa poitrine, si intense, si soudain qu’il crut soudainement qu’il allait mourir sur place, des larmes de douleur montant dans ses yeux. Lui qui n’avait pas l’habitude de pleurer pourtant....Des questions montaient par milliers à sa tête, qui semblait avoir bien du mal à démêler le tout; ses pensées, à présent, n’étaient plus que tournis et douleur, des pensées vagues, sans formes précises. Il lui semblait qu’il n’était plus capable de réfléchir correctement maintenant. Rien n’était claire, tout était confus, sans ordre précis. Pendant quelques secondes, Jaycob n’entendit plus que sa respiration saccadée et quelques bruits vagues à l’extérieur qui venaient d’un endroit sans savoir lequel. Il avait plus mal que jamais dans sa vie, ses forces venaient de le quitter, mais pourtant, une pensée fit son chemin jusqu’à sa tête, une pensée qui allait probablement tout changer. Et s’il n’était pas complètement seul comme il semblait le penser d’abord? Et si il y avait des survivants, peut-être même dans un état encore pire que celui dans lequel il semblait être....Bon sang. Il devait vérifier. Absolument. Ou il ne se le pardonnera jamais du reste de sa vie...aussi courte qu’elle serait probablement après ce jour. Rassemblant l’énergie du désespoir, presque surhumaine, il ouvrit les yeux; c’était le seul véritable moyen qu’il possédait encore afin de vérifier ce qu’il en était vraiment de sa situation. La dernière chose qu'il se rappelait était pourtant vague dans son esprit embrumé par la douleur....il se rappelait un auto, sa femme, son fils. Puis un camion qui déviait de son chemin en venant vers eux à toute vitesse...Et puis plus rien.

Cependant, quand ses yeux se furent enfin ouverts sur le monde qui l’entourait, Jaycob aurait voulu ne jamais avoir fait ce geste. En fait, il ne voyait pas grand-chose; la noirceur ambiante l’empêchait de distinguer autant de détails qu’il aurait voulu. Il pouvait toutefois distinguer ce qui pouvait ressembler à une carcasse d’automobile tout autour de lui. Haussant les sourcils, le coeur battant la chamade au même moment où le nombre de questions que cela suscitait se multipliaient par dix, Jaycob essaya tranquillement de bouger, histoire de déplacer son corps et ainsi apercevoir ce qu’il en était un peu plus clairement. Grave erreur. Il avait à peine esquissé un geste, les dents serrés, que la douleur lancinante qui s’était presque endormie depuis quelques minutes revint à la charge; sa jambe semblait maintenant en feu et il dut se retenir de crier, légèrement orgueilleux. Son coeur bondit dans sa poitrine; apparemment il n’était pas en état de faire quoique ce soit. Déchiré par le mal qui envahissait ses jambes endolories, Jaycob lâcha un grognement et, délicatement, baissa les yeux afin d’apercevoir sa blessure. Il ne put pas voir grand-chose; ce qui avait autrefois été sa jambe était maintenant enterré sous un de ces immenses débris, l’écrasant comme une vilaine guimauve. Laissant passer un juron entre ses dents, il réalisa que l’endroit où il était avait probablement été jadis une automobile.... Perdu dans ses pensées, Jaycob n’entendit d’abord pas les gémissements provenant de quelqu’un près de lui. Sursautant comme s’il venait d’avoir une décharge électrique, Jaycob se tourna vers ce qui semblait être la source du bruit. Ne pouvant atteindre l’endroit même après de nombreux essais infructueux, il essaya du mieux qu’il pu de réfléchir à ce qu’il pourrait bien faire avant qu’une idée, plus douloureuse que sa jambe, plus horrible que les pires cauchemars de son enfance fit son chemin dans son esprit, déclenchant du même coup une décharge d’adrénaline si forte que tout son corps fut secoué. Ally. Bon sang, il était presque sûr que c’était Ally, SA Ally, qui était écrasée à ses côtés et qu’il pouvait à peine voir. Comment avait-il pu seulement oublier qu'elle était dans l'automobile elle aussi? Celle qu’il aimait plus que tout. Faisant fi de sa douleur, Jaycob entreprit un mouvement lent, mais sûr pour se rendre jusqu’à elle, histoire de pouvoir la prendre dans ses bras, lui dire quelques mots doux, lui dire que tout irait bien, qu’ils s’en sortiraient tous les deux. Et peu importait si c’était vrai ou pas.

“ Ally...j’arrive. Je suis là. Ne t’inquiète....”

Pourtant, Jaycob avait à peine fait un geste, ni finit sa phrase que d’autres mots, prononcés par une voix faible, lui parvinrent jusqu’à ses oreilles.

“Papa...maman....papa”

Il lui sembla que son sang se glaça dans ses veines. Bon sang. Noah. Son petit Noah était aussi là....Tout à coup, un terrible étourdissement le prit, l’empêchant d’aller au secours de son fils ni de lui parler pour le rassurer. Il eut tout juste le temps de lancer un coup d’oeil du côté de sa femme pour se rendre compte que les gémissements avaient cessé; elle avait peut-être perdu conscience? Un tremblement le pris alors de court puis la minute d'après, il était plongé dans le noir.
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Après cet accident, plus rien ne fut jamais la même chose. Jaycob lui-même sembla changer du tout au tout et avec raison. Une culpabilité sans limite l'assaillait sans cesse, il se sentait affreusement coupable de cet incident, sans raison pourtant. Ally survécu mais pour ce qui était de son petit Noah....il mourut quand l'ambulance le transporta jusqu'aux urgences, un débris de l'automobile, terrible vestige de l'accident, l'ayant mortellement blessé. Ally tenant Jaycob pour responsable, leur couple se brisa en mille morceaux; aucun des deux n'étaient capables de rester avec l'autre, l'esprit sans cesse tourmenté par les souvenirs heureux qui remontaient sans cesse à la surface. Tout était terminé. L'amour n'avait plus de raison d'être chez eux.

Jaycob se réfugia dans un petit appartement de New-York, dans une tentative de s'éloigner le plus possible de ses gens proches, qui réveillaient en lui bien trop de souvenirs atroces. Son meilleur ami du moment? L'alcool bien sûr, un outils parfait pour oublier le temps où ils étaient heureux, où tout semblait parfait. Parce que plus rien ne le serait....Une vie pathétique que les différentes catastrophes semblèrent complètement réveiller. Jaycob se retrouva bien malgré lui au coeur des événements.....peut-être une nouvelle chance pour tout recommencer? Il tente de le voir de ce côté, malgré son pessimiste permanent même s'Il aurait voulu mourir avec tous les autres....Cependant, un seul espoir le garde en vie; sans trop savoir pourquoi, il est pris d'un nouveau but. Inquiet pour son ex-femme malgré les derniers événements et le temps qui les avaient divisé, il veut plus que tout la retrouver pour savoir si elle est en vie et désire secrètement pouvoir s'expliquer avec elle....

D'un autre côté par contre, il fait la rencontre d'une femme parmis eux qui pourrait bien changer sa vision des choses....et qui le rend heureux pour l'instant. ESt-il prêt à recommencer une nouvelle vie ou son amour pour sa femme tiendra-t-il le coup? Sera-t-il capable de finalement faire une croix sur son passé?