Jane Teodora Wilson - terminé

(c) blackbird

WHAT'S YOUR I.D. ?

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Prénom(s) & Nom ; Je m'appelle Jane Teodora Wilson. Mes parents ont choisi mon premier prénom car il le trouvait joli. A ma naissance, ils n'avaient encore aucune idée de la manière dont ils me prénommeraient. En me voyant, ma mère a eu ce prénom à la bouche et ils ont décidé qu'il serait mon prénom. Quant au deuxième, ils savaient déjà lequel ça serait. Il me vient de mon arrière-grand-mère. Je ne l'ai pas connu mais on m'a dit du grand bien d'elle. Mon nom de famille est le même que celui de mes parents. Mon père l'a donné à ma mère en se mariant avec elle. Jane Wilson ? Ça sonne bien, vous ne trouvez pas ?
Age ; Cette année, je fêterai mes vingt-quatre ans. On me dit souvent que je ne le fais pas ou que je fais plus âgée. Tout dépend de la personne.
Date & Lieu de naissance ; Je suis née en Arizona. Mes parents y vivaient depuis toujours. A ce qu'il paraît, les Wilson sont installés en Arizona depuis longtemps. C'est assez étrange, je trouve. Pourquoi ne pas changer d'État ou même de pays ? Enfin bref. Ma naissance eut lieu le vingt-deux septembre 1986.
GROUPE ; Je préfère mener une vie de sédentaire. Je ne me vois pas piller les gens comme le font les renégats. Et puis, j'aime m'installer dans un coin et y rester. J'ai l'impression d'être chez moi. Ainsi j'acquiers des habitudes et une routine réconfortante.
Statut ; Je suis une citoyenne comme les autres. N'étant pas habitante de New-York, je n'ai pas grand chose à faire. Ou plutôt, je ne sais pas quoi faire. J'aide les gens quand ils en ont besoin. Je suis assez bénévole et serviable pour aider tout ceux qui le veulent. De cette manière, j'ai appris énormément de choses sur les gens et les différentes aides à apporter.

▬ WHAT I'VE BEEN THROUGH
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Biographie ;
Comme pour toute naissance, il faut un père et une mère. Les parents de Jane étaient deux professeurs. Son premier enseignant l'archéologie à l'université tandis que la seconde donnait des cours de piano. Son père, Jack, était amoureux d'une bourgeoise lorsqu'il rencontra celle qui serait sa future femme. Il souhaitait prendre des cours de piano afin d'épater la jeune femme. Cependant, en rencontrant Lena, ses ambitions s'évanouirent. Au lieu d'apprendre le piano pendant une heure, ils discutèrent de tout et de rien. Ce jour-là, Jack repartit en ne connaissant aucune note de piano mais en connaissant le numéro de téléphone de son professeur. Ce petit rituel continua jusqu'à ce que Jack rompt avec sa petite amie bourgeoise. Quand se fut fait, il s'empressa de rejoindre Lena pour lui annoncer la nouvelle. Elle lui apprit finalement à jouer du piano. D'ailleurs, il en joua le jour de leur mariage. C'est six ans après leur rencontre que Lena découvrit qu'elle était enceinte. Après six ans d'amour, un enfant apparaissait enfin. Elle commençait à désespérer. La nouvelle réjouit Jack qui voulut acheter, immédiatement, les affaires du bébé. Lena calma rapidement son ardeur. Mais à chaque fois qu'elle rentrait, une nouveauté l'attendait. Une fois c'était la chambre du bébé qui était peinte, l'autre fois c'était le lit qui était assemblé ou des peluches qu'il avait acheté. Voir autant d'engouement de la part de son époux rendait heureuse Lena. Elle trouvait cela attendrissant. Et puis quelques mois après, l'échographie pour connaître le sexe du bébé arriva. Il s'agissait d'une petite fille. Fille ou garçon, ses parents s'en fichaient. Tout ce qui comptait c'était d'avoir cet enfant, ce petit trésor qu'ils chériraient jusqu'à la fin de leur vie et dans toutes les situations. Lena décida que le deuxième prénom serait celui de sa grand-mère, donc l'arrière-grand-mère de la petite. Mais pour ce qui était du premier prénom, ils voulaient attendre qu'un leur saute aux yeux. Ce fut seulement à la naissance qu'ils trouvèrent le prénom. C'est Lena qui, en la voyant, passa immédiatement à Jane. Elle trouvait ce prénom parfait pour sa fille. Surtout qu'elle pourrait le dévier en plusieurs surnoms. Jack ne fit qu'approuver. Elle aurait très bien pu ne pas avoir de prénom, il l'aurait aimé. La petite famille rentra chez elle, une semaine plus tard. Tout était déjà prêt pour l'arrivée du bébé. Même les grands-parents étaient là. A trente ans, Lena venait de donner naissance à son premier enfant. Elle ne savait pas si elle aurait l'occasion d'en avoir d'autres mais ce bébé-là, elle s'en occuperait jusqu'au bout. Tant pis si, pour cela, elle devait la coller, la surveiller, et l'engueuler tout le temps. Elle en ferait une fille bien, aimable et serviable. Sa fille serait sa plus grande fierté.
Jane passa une enfance ordinaire. On pourrait même la qualifier de joyeuse. Elle alla à l'école comme tout le monde et eut de bonnes notes tout le long de sa scolarité. Dès son plus jeune âge, elle savait ce qu'elle voulait faire : journaliste reporter. Elle aimait voyager et écrire. Avec ce métier, elle pourrait faire les deux. Elle travailla donc dans l'espoir de devenir journaliste. Parallèlement à ses études, sa mère lui enseigna à jouer au piano. Jane s'avéra plutôt douée même si elle ne trouvait pas vraiment d'intérêt à faire de la musique. Mais pour sa mère, elle s'appliqua. Quant à son père, il lui parla pendant des heures des recherches archéologiques, des dinosaures et des ères. Elle trouvait cela extrêmement intéressant. A ses dix-sept ans, le bonheur s'estompa pour laisser place au divorce de ses parents. Elle fut brisée d'apprendre qu'ils avaient fait semblant de bien s'entendre devant elle afin de ne pas la faire souffrir. Elle aurait encore préféré savoir qu'ils ne s'aimaient plus. Jane vécut assez mal cette période de sa vie. Le juge décida de la mettre avec sa mère. Ce qu'elle accepta sans rechigner. De toute manière, elle avait le permis et la possibilité de voir son paternel lorsqu'elle le souhaitait. La vie reprit son court. Jane continua ses études. Durant son adolescence, elle connut les premiers amours et les premières déceptions. La fin du lycée arriva rapidement. Jane obtint son diplôme haut la main, sans aucune difficulté. Sans être une grosse tête, elle arrivait à avoir de bonnes notes en travaillant. Le week-end, elle travaillait dans un magasin afin de gagner de l'argent pour son premier voyage. Elle n'avait encore quitté son Arizona natal mais elle avait envie de découvrir de nouveaux paysages, de voir de nouveaux horizons. Elle voulait voler de ses propres ailes. Lorsqu'elle eut assez d'argent, elle s'acheta sa première voiture. Une vieille voiture qu'elle affectionnait plus que tout. Parfois, lorsqu'elle s'ennuyait, elle s'imaginait le nombre de fesses qui avait du s'assoir sur le canapé de cette voiture. Et puis elle entra à l'université. Jane ne quitta pas l'Arizona afin de tenir compagnie à sa mère. Celle-ci s'ennuyait quand sa fille n'était pas là. Jane en prenait soin parce qu'elle l'aimait énormément. A l'université, elle fit la rencontre d'un homme qui lui offrit l'amour qu'elle souhaitait. Avec lui, elle partit à Rome pour son premier voyage. Il s'appelait Ulrich. Elle était follement amoureuse de lui. Leur amour dura pendant toutes leurs études universitaires. La vie active arriva enfin. Ils s'installèrent ensemble, dans un appartement charmant que Jane décora avec plaisir. Mais cette idylle ne dura pas éternellement.
« Ulrich... on a un problème. »
« Un problème ? »
« Je vais avoir un bébé. »

Elle ne savait pas si elle devait se réjouir ou pas. Être enceinte à dix-neuf ans était une bonne nouvelle mais la tête que faisait Ulrich à ce moment-là lui faisait regretter d'être enceinte. Finalement, un sourire vint s'afficher sur son visage, rassurant la future mère. Mais elle devrait continuer ses études tout en poursuivant sa grossesse. Elle ne se voyait pas élever un enfant seule. Si il ne l'avait pas accepté, elle l'aurait sûrement fait adopter ou elle aurait avorté. Elle lui sauta au cou pour manifester sa joie. Ils allaient avoir un bébé. Tout les deux. Ils l'aimeraient comme ses parents l'avaient aimé. Mais eux, ne finiraient pas divorcés. Ils resteraient ensemble jusqu'à la mort. Les mois passèrent et Ulrich accepta toutes les préparations sans rechigner. Il participa aux cours de maternité avec Jane. Il fut même ravie d'apprendre que c'était une fille. Il l'aida à chercher un prénom qui conviendrait à l'enfant. Et puis au septième mois, il lui apprit qu'il devait partir à New-York, dans le cadre professionnel. Jane fut surprise. Elle ne pensait pas qu'on le ferait partir sachant que sa copine attendait un enfant. Ulrich trouva les bons mots pour la réconforter et lui fit la promesse d'être là quand elle accoucherait. Elle avait donc accepté de le laisser partir. Quelques jours après, le temps pour lui de préparer ses affaires, Ulrich partait. Les premiers jours, il l'appela régulièrement, répondait à ses appels, prenait des nouvelles du bébé. Au bout de deux semaines, il arrêta d'appeler. Il ne répondait plus qu'aux coups de téléphone de Jane mais il expédiait la conversation. Ils ne parlaient que deux minutes, la conversation étant entre-coupée de silence. Jane ne comprenait pas pourquoi. Elle ne voyait pas l'évidence : il la quittait doucement, en douceur. Mais elle continuait à s'accrocher. Voyant qu'elle continuait à l'appeler, Ulrich laissa sonner son téléphone, ne répondant même plus. A côté de sa grossesse, Jane continuait ses études de journalisme. Elle fut forcée de retourner chez sa mère autant pour le bébé que pour le loyer à payer. Elle ne pouvait plus payer l'appartement et elle avait besoin de compagnie. Plus ça allait et plus elle s'enfonçait dans une dépression. La présence rassurante de sa mère l'aidait à refaire surface. Jane retrouvait les joies et les désagréments de la grossesse. Les mois passèrent et le moment d'accoucher arriva.
« Maman ! Viens voir ! »
« Oh mon Dieu ! Tu accouches, ma chérie. »
« Quoi ?! Non non non. Pas temps qu'Ulrich n'est pas là ! »
« Je crains que ta fille ne puisse attendre, Janie. »

La jeune femme se laissa tomber sur le rocking chair de la chambre. Elle avait tout prévu pour l'arrivée du bébé. Mais pas qu'il arriverait lorsque Ulrich n'était pas là. Celui-ci était partit trois semaines plus tôt en disant qu'il reviendrait pour la naissance de l'enfant. Depuis, elle n'avait plus aucune nouvelle. Elle mettait cela sur le compte du débordement. Ulrich ne pouvait simplement pas l'avoir abandonné. Elle ne pouvait pas accoucher sans lui. Il avait promis. Elle lança un regard suppliant à sa mère. Une contraction la tordit de douleur. Elle ne serait pas capable d'attendre qu'il arrive. Sa mère la fit sortir de la chambre du bébé pour l'emmener jusqu'à la voiture. Un cri de douleur franchit ses lèvres. Les contractions étaient bien plus douloureuses qu'elle le pensait. Jane se sentait si seule. Elle avait pensé traverser cette épreuve avec Ulrich. Il lui aurait serré la main pendant qu'elle accouchait. Ils avaient conçu ce bébé tout les deux, il devait naitre avec tout les deux. Mais il n'était pas là. Il n'avait pas tenu parole. Comme d'habitude. Elle ne comptait plus le nombre de promesses qu'il n'avait jamais tenu. A chaque fois, il partait pour revenir deux mois après. Jane lui ouvrait les bras bêtement. Maintenant, c'était fini. Elle ne le laisserait pas faire. Il en était hors de question. Elle élèverait seule leur fille. Une troisième contraction la fit grimace. Elle posa ses mains sur son ventre. Elle devait prévenir Ulrich, quand même. Il était le père et était peut-être retenu à New-York. La voiture fila le long de la route jusqu'à l'hôpital le plus proche. Le chemin dura dix minutes pendant lesquelles Jane souffrit atrocement. Elle avait l'impression qu'on lui arrachait un bras ou qu'on attirait tous ses organes vers le bas. C'était limite si elle ne retenait pas son ventre comme pour l'empêcher de s'en aller. La voiture se stoppa en catastrophe sur le parking et on l'emmena dans une salle d'accouchement. Sa mère l'accompagna et fut à ses côtés lorsqu'elle accoucha. Elle donna naissance à un joli bébé au teint rose. Il était en pleine forme. Lorsque Jane put enfin rejoindre une chambre, elle s'empressa de téléphoner à Ulrich. Comme ces derniers jours, elle tomba sur sa messagerie. Elle laissa un message et raccrocha avant de sombrer dans le sommeil. Un mois plus tard, elle décida d'aller elle-même à New-York puisqu'il ne venait pas à elle. Elle souhaitait régler ses comptes avec lui et en finir une bonne fois pour toute.
Comment s'est déroulée votre survie ? ;
Jane est partis à New-York deux jours avant la catastrophe naturelle. Elle n'avait aucune piste pour retrouver son ancien petit-ami, juste son numéro de téléphone. Elle souhaitait donc passer par la police pour remonter sa trace. Elle était dans son hôtel lorsque l'averse tomba. Jane renonça à ses recherches pour la journée, pensant que tout cela se calmerait bientôt. Elle attendit donc. Mais la ville fut rapidement inondée et l'eau tombée ces derniers jours devint glace. Jane fut évacuée aux étages supérieurs afin de ne pas être dérangée par la glace. Mais elle avait bien plus peur pour sa mère et sa fille, restées en Arizona. Elle s'inquiétait de savoir ce qu'elles étaient devenues. Elle aurait tout donné pour les rejoindre. Jane passe les cinq années à attendre encore et encore. Chaque année, elle pensait à ce qu'aurait été sa vie, aux côtés de sa fille. Elle l'aurait élevé et serait une grande journaliste. Elle aurait dû rester auprès de sa fille plutôt de courir après Ulrich. Elle parvint à se tenir chaud grâce aux vêtements qu'elle avait emporté pour son voyage. Elle était heureuse d'avoir songé aux tenues chaudes. Quant à la nourriture, elle se débrouillait avec les autres rescapés. Elle avait perdu tous les kilos prient pendant sa grossesse et retrouva son ventre plat. La glace termina par disparaître, laissant place à un paysage sec et aride. Cela n'avait plus rien à voir avec le New-York qu'elle connaissait. Maintenant, elle avait vingt-quatre ans. Elle ne se voyait pas rester dans ce paysage toute sa vie. Elle ne mourrait pas ici. Encore moins loin de sa famille. Toutes les personnes présentes autour d'elle étaient devenus ses amis. Mais ce n'était pas pareil. Elle avait rarement parlé de son histoire, de sa vie. Elle suivit les survivants de l'hôtel en dehors du bâtiment. Cela faisait bizarre de marcher ailleurs que dans les couloirs de l'endroit. Jane préféra rester avec ceux qui construiraient un petit village plutôt que de mener la vie de pilleurs. Voler, ce n'était pas son train de vie.

▬ AS A SURVIVOR
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Caractère ;

Si il y a bien une chose qui caractérise Jane, c'est sa gentillesse. Tout le monde vous dira qu'elle est gentille, agréable et souriante. Elle l'est, c'est certain. Elle l'est même trop. Les gens profitent de sa gentillesse pour l'utiliser. Elle a déjà été l'objet de manipulation. Ne croyez pas que Jane ne s'en rend pas compte. Au contraire, et elle note tous ce que lui font faire les gens. Elle n'est pas pour la violence mais une gueulante par-ci par-là pour remettre les idées bien au clair ne fait pas de mal. Elle saurait se rappeler en temps voulu de ce que lui on fait subir toutes ces personnes afin de le retourner contre eux. Jane a déjà rencontré des personnes qui se moquaient d'elle parce qu'elle était bien trop gentille mais dans un monde comme le leur, la gentillesse est une denrée rare. Alors, elle s'en fichait. Elle était plutôt heureuse que cela énerve les gens puisque cela venait de personnes malsaines. Cela prouvait une fois encore que la gentillesse était rare. Jane ne comptait pas changer pour les autres. Elle était ce qu'elle était. Tant pis si des personnes malsaines l'utilisaient. Elle leur revaudrait ça. A part cette gentillesse légendaire, la jeune femme est devenue nostalgique depuis la catastrophe naturelle. Il n'est pas rare de la voir plonger dans ses pensées, se souvenant de tout ce qu'elle a vécu, de ces années de lycéenne, de sa petite fille, de sa mère. Sa mère lui a transmis énormément de valeurs, dont sa sociabilité et la serviabilité. Lena lui apprit pendant toute son enfance à rendre service à ceux qui en avaient besoin, lui assurant qu'on le lui revaudrait plus tard. Jane ne sait jamais demandé quand arriverait le moment des remerciements lorsque rien ne venait en retour. Elle s'en fichait. Le plaisir de voir les gens soulager d'un poids valait tous les cadeaux. Ainsi, elle est devenue bénévole. Sa mère lui a également donné sa sociabilité. Elle lui avait fait comprendre qu'avoir des amis ou savoir approcher les gens étaient important. Une vie sans ami était bien terne. Jane n'eut aucun mal à se faire des amis. Son sourire et sa bonne humeur attiraient la sympathie. En effet, elle est constamment souriante. Même quand elle était enfermée dans un bâtiment à cause des chamboulements climatiques, elle n'avait pas perdu le sourire, optimiste à l'idée de pouvoir sortir bientôt de là. Même si elle était nostalgique, elle ne perdait rien de son optimisme. Le caractère de Jane ne se résume pas à sa gentillesse, son sourire et à sa bonne humeur, elle est également courageuse, à la limite de la témérité et de l'audace. Lorsque l'on vivait une aventure pareille, il valait mieux ne pas avoir peur de prendre des risques. Au début, elle avait plutôt du mal. Elle craignait de perdre la vie bêtement et de ne jamais revoir les siens et puis, elle avait fini par comprendre que si elle ne faisait rien, elle n'arriverait pas à grand chose. Cette jeune femme est également indépendante et autonome. Elle sait se débrouiller toute seule, bricoler et monter un meuble par exemple. Si il n'y avait pas eu cet accident, elle aurait pu être une mère célibataire débrouillarde. Elle est très touche-à-tout, aimant apprendre de nouvelles façons de travailler, d'utiliser une chose ou de vivre. Les nouvelle expériences, elle aime ça. Jane est une personne déductive qui devine facilement les choses. Elle aurait fait une excellente détective. Elle est aussi attentive et observatrice. Jane serait incapable de mémoriser une leçon dès la première lecture mais lorsqu'elle voit un détail insignifiant, elle le mémorise sans s'en rendre compte. Jane est une jeune femme curieuse. Elle aime découvrir de nouvelles choses mais pas que. Son truc à elle est de fouiner partout, là où ça ne la regarde pas. Quand un détail attire son attention, il faut qu'elle fouine et trouve la solution. Autrement, elle tourne en rond jusqu'à craquer. Elle est aussi impulsive et spontanée. Elle peut prendre quelques secondes pour réfléchir mais finalement, elle prendra toujours ses décisions sous le coup de l'impulsivité.
Atout ; Son atout est sûrement son instinct. Jane en a toujours eu un bon. Elle sait quand quelque chose va mal tourner mais, en principe, elle l'ignore. Elle préfère voir le bon côté des choses plutôt que de partir démoralisée. Par exemple, en partant à New-York, elle savait d'avance que quelque chose de mal allait se passer. Elle pensait que ça serait dans l'avion. Lorsqu'elle avait posé le pied sur le sol new-yorkais, elle avait oublié le mauvais pressentiment qu'elle avait, malheureusement. A part cet instinct, Jane a un autre atout. Elle a une joie de vivre communicante. Et quand quelqu'un ne va pas bien, elle sait lui remonter le moral avec son enthousiasme, son attention et ses blagues.
Faiblesse ; Sa faiblesse est sa trop grande gentillesse. Elle a tendance à se laisser faire par les gens. Elle est bien trop serviable et gentille. Incapable de faire la tronche à quelqu'un, de faire du mal. Jane n'a jamais pu s'engueuler avec quelqu'un, faire souffrir quelqu'un ou être méchante avec une personne. Elle a toujours été gentille, attentive et dévouée. Elle est la bonté incarnée. Cependant, on ne peut pas croire qu'elle ne se met jamais en colère. Quand elle l'est, elle devient hystérique et lâche tout ce qu'elle a essuyé depuis longtemps. Parfois, l'énervement se mêle aux larmes de colère. Jane ne se met en colère que très rarement. En principe, c'est quand elle est très fatiguée, à bout de force, stressée et sous pression qu'elle craque et ne se contrôle plus.

▬ BEHIND THE SCREEN
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Prénom / Pseudo ; Haricot
Age ; 16 ans
Avatar ; Emilie de Ravin
Double compte ? nap'
Fréquence de connexion ; environ 4/7
Comment avez-vous connu le forum ? par mail
Commentaires / Suggestions ? le forum est magnifique *__*
Clé de validation ; j'aim les poissons rouges, vous ne les trouvez pas magnifiques ?

( Si tu as besoin de plus de post pour ta préso' je peux virer mon message Wink

)

Bienvenu again Very Happy

belle présentation .

Miaaaam, j'ai adoré =)
Il nous faut un lien( oui, t'as pas le choix, c'est moi qui décide j'suis le big boss lol )
Nan mais t'as le droit d'émettre une objection quand même ^^

Re-bienvenue donc =)
Je te valide avec plaisir ^^