*VOTRE VIE
Avant le Déluge : Ses journées se succédaient et elle avaient tendance à toute se ressembler. James marchait dans la rue, prenant diverses rues principales pour passer ensuite dans une ruelle un peu moins fréquentée. Il avait rendez-vous avec un trafiquant de drogue pour acheter une dose de cocaïne. La vente commença, dans l'obscurité d'un angle. James lui tendit des billets et le vendeur les compta avec application et attention. Il le regardait faire, se mêlant les doigts avec avidité, par manque de consommation illicite. James n' avait plus de réserve depuis près de deux jours. Il reparti ayant récupérer sa dose, en frôlant le mur, sa main serrant le sachet de poudre blanche caché dans l'un de ses poches. Un morceau de glace tomba sur sa tête; il s'arrêta; leva la tête et regarda le ciel. Son étonnement fût remplacer par de la réelle inquiétude quand il remarqua que de gros morceaux de glace chutaient en direction du sol. James se mit à courir pour se réfugier sous un camion puisque le volume de la grêle avait doubler voire quadruplé. Il resta à l'abri mais des cris lui parvenaient petit à petit. Quand il vit l'énorme vague arriver, James se retourna sur le dos, s'agrippa à la carrosserie et se hissa dehors pour courir à toute jambe. La vague noyait les rues, les ruelles .. elle avalait tout sur son passage et à une vitesse incroyable. James tourna dans une ruelle qui déboucha sur une rue marchande. La puissance de l'eau emportée tout sur son passage. Par survie, il couru vers un haut bloc d'appartement et prit les escaliers en collimation pour monter le plus haut possible. James ne s'arrêta pas, jusqu'à être arriver sur le toit.
Histoire : James est né derrière les murs de sa petite maison où ses parents vivaient pauvrement. La famille Hamilton menaient une vie difficile dans un ghetto de la ville de New York. James avait un grand frère Calvin, plus grand de deux années. Les deux frères avaient aussi une petite soeur, qui naquit trois ans après James en 1990. C'était au mois de mai, le 18. La même année, le 14 juin 1990, Katie mourut suite à des problèmes de santé. James et Calvin avaient souffert et peut être même un peu plus que leur parent. Certes, le couple avait perdu leur fille mais ils leurs restés les deux garçons. Dès son très jeune âge, James fût envoyé par son père en compagnie de son frère, dans la rue pour tenter de récolter de l'argent en faisant les moines devant l'église ou bien à l'entrée du marché qui avait lieu le mercredi matin. Lors des étalages, les deux frères demandaient de la nourriture, des couvertures etc... il y en avait très peu - malgré que les marchants soient nombreux - à leur offrirent des offrandes. Quand le soir venu, ils rentraient tout deux à la maison, il se faisait battre et à tour de rôle par leur père, sous l'oeil triste de leur mère soumise. Les coups, un terrible souvenir dont, aujourd'hui encore, les cicatrices recouvrent son dos meurtri. Qui aurait put croire que leur père Charlot était un père violent? Personne. Au contraire, la pauvreté qui attristé déjà le foyer ne suffisait pas. Leur existence était aussi traduit par la maltraitance. Il y au un peu de couleur dans la vie de James Elvis. L'année de ses 10 ans, son père lui permis d'aller à l'école pour apprendre. Naïf, James avait cru ses paroles si prometteuses : il serait heureux, l'éducation le conduira au savoir. Le jeune garçon était si motivé qu'il donnait le meilleur de lui même. Hors, quand fût le temps de rentrer au collège, en septembre, le jour où après avoir passé deux mois d'intense travail pour fournir au foyer de quoi vivre, son père lui arracha son cartable en vieux cuire craqué, lui jeta ses manuels dans le feu de la cheminée. James échappa aux coups mais la tristesse et la frustration l'emportait. Il ne rentra pas de la journée. Quand il rentra au petit matin, son père l'attendait, très en colère ... Un mois plus tard, en octobre, il apprit en surprenant une conversation entre sa mère et son père, qu'il avait été vendu à un riche homme pour lui permettre d'aller à l'école mais plus cruellement d'apporter de l'argent à sa famille : Hamilton. Son père, Charlot, l'avait vendu à Monsieur Blay. Ce richou devait venir le chercher le soir même. James en laissa tomber la pomme qu'il avait volé sur un stand et s'enfuyait dans la rue. Il ne rentra pas. Vivait comme un solitaire. James ne revit plus son père, ni sa mère, ni son frère. Charlot, il le haïssait. Emily, sa mère lui l'aimait et il l'aimera toujours. Son frère Calvin, resterait son modèle. Pourtant, un mois plus tard, il rentra à la maison. Bien sûr, une violente scène de ménage eu lieu. James les aimait, c'était certain. Il rencontra un homme pour qui il travailla pendant ce mois. Celui ci, Arnold, lui offrit pour son excellant travail des plans de cannabis. Bien sûr, James y goûta mais eu surtout une idée ! La vendre. Développer et vendre quelque sachet à prix raisonnable mais assez important pour apporter des sous à la maison. Bien sûr, il ne disait pas entièrement la vérité à ses parents et à son grand frère. James avait simplement dit qu'il travaillait pour un homme et qu'il le payait tous les vendredis. Il évita donc les coups et les tortures de son père. Le foyer trouva un certain calme. Cependant, la haine qu'il ressentait pour son père n'avait pas disparu. Ni aujourd'hui. Quand il eut dix huit ans, James parti de la maison. Il versa de l'argent à ses parents. Sa mère mourus et il ne resta que Calvin et son père. Depuis la catastrophe, il n'eut plus de leur nouvelle. Il ne les vit plus. James préfère se dire qu'ils sont mort au lieu de se tourmenter l'esprit à les savoirs ... perdus !
Caractère : La vie qu'il a connu autrefois est source de son caractère. James n'a pas un sale caractère loin de là, mais une personne qui ne le connait pas ne trouverait pas le moyen de cerner sa personnalité. James est un grand solitaire. Les autres peuvent le trouver bizarre, mystérieux et peut être même dangereux. Personne ne sait qui il est. Le jeune homme n'est pas bavard, sans pour autant dire qu'il est insociable. James aime simplement rester seul. << Chacun sa merde >> dit`il souvent, silencieusement. Ce n'est nullement un garçon qui aime la violence mais pourtant, s'il arrive qu'un individu de l'espèce humaine le cherche en insistant trop; James peu lui devenir violent. Impulsif, il réagit au quart de tour et les coups partent à vitesse incroyable. Sa violence est elle dut à son enfance? La violence de son père se répercute t-elle sur sa façon d'être? Sûrement. Ne disons nous pas : Tel père, tel fils. Foutaise ! James déteste son père. Il ne veut absolument pas devenir comme lui. Un homme sans cœur et sentiment. Pourtant, il faut croire qu'il est un peu comme ça ... malgré lui. Un peu .. juste.
Physique : James a vraisemblablement un physique avantageux et appréciable. Sa carrure est imposante. Ses yeux ont toujours tendances à être vide sans pour autant être sans vie. Ses cheveux bronzes sont naturellement coiffé en désordre d'épis. Sa bouche est rouge et charnue raisonnablement. Il possède des larges épaules, un torse bien battit, des abdominaux. Sa peau légèrement mâte reste marqué par les douleurs de son enfance. Cicatrice, marques et égratignures recouvrent une bonne partie de son corps. C'est aussi un homme assez grand. Son père faisait un mètre quatre vingt. Les gênes simplement. James, lui mesure un mètre soixante dix sept. Côté vestimentaire, James Elvis reste simple. L'argent ne coulait pas lors de son enfance et encore moins aujourd'hui. Il fait avec ce qu'il a sous la main, sans pour autant être ringard. Jeans, basket, tee-shirt ou chemise. Simple. Naturel.
Secret: James n'a jamais eu de vraies relations. Un éternel célibataire..vierge, n'ayant jamais gouter au plaisir sexuel. Ses blessures sont source d'un dure complexe. Dévoiler son dos, sa peau, son corps est pour lui un réel problème. Il a peur des regards des autres.
Liens : Olivia McFaden ; Il est persuadé d'avoir déjà croisé la jeune femme quelque part, mais impossible de se rappeler où ! Voulant savoir le fin mot de l'histoire, il garde un oeil sur elle dans l'espoir que sa mémoire lui revienne.